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Christian Montcouquiol
Ce n'était pas le plus technique mais en tout cas il savait procurer au public une émotion que peu de toreros procurent.
Christian Montcouquiol de son vrai nom était un nimois, très attachant avec un visage d'ange dans un corps d'enfant. Sa carrière fut comme sa vie, trop brève...
En 1989 en Arles, un toro de l'élevage Miura, Pañolero de son nom le renversa, les cervicales étaient touchées, Christian ne redescendrait plus jamais dans l'arène et son combat se termina deux ans plus tard. Il mis fin à ses jours car son rêve brisé avait plus paralysé sa tête que ses jambes.
Un grand torero qui nous manque encore et toujours.
La ville de Nîmes lui rend hommage en exposant sa splendide statue devant les Arènes. Elle rend hommage à celui qu'elle considère comme l'un des plus grands hommes de sa ville : Nimeño II.
El Nimeño II est mythe incontournable dans la galaxie des matadors français. Rien, pourtant, ne prédestinait le jeune Christian Montcouquiol à consacrer sa vie au toro. Né à Spire, en Allemagne, en 1954, il ne découvre la tauromachie que quelques années plus tard, lorsque la famille vient s'installer à Nîmes. Son frère, Alain, lui ouvrira les portes de l'art taurin sous le nom de Nimeño I. Mais très vite, il se rangera dans le sillage de son frère, surdoué du genre, qui prend son "alternative" à Nîmes le 28 mai 1977. En 456 corridas dont 120 en Amérique, Nimeño II redonne ses lettres de noblesse aux toreros français. Il conquiert l'espagne, triomphe à Séville, sort par la grande porte à Madrid. La galère puis le triomphe, la découverte du monde à la pointe des cornes de Miura, Victorino, Fraile qu'il affronte et soumet. Le Mexique l'adopte et lui consacre le premier une statue.
Le 10 septembre 1989, Nimeño II se produit à Arles. A l'affiche, des toros Miura dont Pañolero, 540 kg et surtout 105 centimètres d'un bout à l'autre des cornes. d'un crochet, il fauche Nimeño II, le fait pivoter sur ses cornes. Mais l'homme ne meurt pas et une autre lutte commence, contre la tétraplégie. "Pourquoi ce Miura ne m'a-t-il pas vraiment tué !", proteste parfois Christian Montcouquiol. Le 25 novembre 1991, Nimeño II choisit de mettre fin à ses jours. Son frère scellera ce destin hors du commun dans un ouvrage qui fait référence " Recouvre le de lumière ".
InformationCette photo est présentée dans la galerie photos du site http://www.canon.photo.free.fr dans l'album Les arènes de Nîmes : Le monument le plus célèbre de Nîmes c'est ici que se déroule chaque année la Corrida Photos des Arènes de Nîmes de nuit Suivez le lien pour découvrir les autres photos de la galerie Les arènes de Nîmes
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