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Les arènes de Nîmes

 


Les arènes de Nîmes


Les arènes de Nîmes

Le temple des gladiateurs.



Avant d'accueillir les corridas, c'est au sport de combat qu'étaient vouées les fameuses arènes de Nîmes. La gladiature était une distraction romaine très codifiée, doté d'une longue histoire. C'est vers le IVe siècle av. J.-C. que ce sport apparait, pour ponctuer des cérémonies funéraires. Il a prospéré pendant huit cents ans.

Les arènes de Nîmes sont construites en 100 après Jésus-Christ (très peu de temps, sans doute vingt ans environ, après le Colisée de Rome). A cette époque la ville de Nemausus est une colonie romaine depuis près d'un siècle et demi. La ville a totalement adopté les coutumes romaines et les habitants se passionnent pour leus gladiateurs (dont les combats étaient jusqu'ici donnés dans des amphithéâtres en bois). Les gladiateurs sont des héros vivants. Ils exercent sur la population une fascination sans limite mais très ambiguë : célébrés pour leur bravoure, ils sont méprisés pour leur côté mercenaire.

Des mises à morts très rares


Quand on pense aux gladiateurs nous vint tout de suite à l'esprit le geste du fameux pouce pointé vers le bas qui signifiait la mise à mort du combattant vaincu. Mais contrairement aux idées reçues, les combats des arènes n'étaient que rarement ponctués par la mort des gladiateurs car ceux-ci coûtaient très cher. En cas de décès, leur patron, le « lanista », exigeait un lourd dédommagement. Quand le vaincu touchait terre et se tournait vers l'« editor » (magistrat organisateur et donc « payeur »)pour demander grâce, il était presque sûr de l'obtenir. Le geste était alors celui du pouce enserré dans le poing fermé, signe du glaive rentré dans le fourreau. Il fallait vraiment que le vaincu ait été piètre combattant pour être condamné, ou que l'organisateur soit vraiment sanguinaire.

Le plus souvent, il s'agissait d'abréger les souffrances d'un gladiateur mortellement blessé. Le maître désignait alors de sa main ouverte le malheureux (et non le pouce baissé comme dans les péplums d'Hollywwood) et le vainqueur lui tranchait la gorge... En fait, 90 % des combats se terminaient sans mort d'homme et les combattants pouvaient retourner dans leur « ludum », leur école, reprendre leur entraînement avec leur « doctor ».

Une école de gladiateurs à Nîmes


Nîmes abritait certainement une école de gladiateurs pour qu'il soit décidé de bâtir une enceinte aussi grandiose. On ne l'a pas fait uniquement pour le plaisir de l'art. Les arènes ont été construites avec des pierres de carrières voisines. L'édifice mesure 133 mètres de long sur 101 mètres de large et il possède une piste ovale ; la façade extérieure est haute de 21 mètres et compte deux étages de 60 arcades. Sur le pourtour, on voit encore les trous dans lesquels on plantait les mâts portant les vélums par jour de grand soleil. Les arènes pouvaient accueillir 24.000 personnes ce qui est phénoménal pour l'époque. Ca représentait presque la population entière de la ville. Les spectateurs disposaient de 34 rangées de gradins qui étaient divisées en quatre parties « étanches », reflétant la hiérarchie de la société (les notables aux premiers rangs, la plèbe aux derniers).


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Les galeries où cette photo est présente :

Galerie Les arènes de Nîmes Galerie Les arènes de Nîmes planche 2 Galerie Les arènes de Nîmes planche 3 Galerie Les arènes de Nîmes planche 4  


Citation :
Une photo ? C'est l'instant qui s'arrête, les sentiments qui demeurent et la vie qui s'en va.
[Jérôme Touzalin]


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